Josh C. Reynolds
▬ Meet Me On The Equinox
confrérie : Lambda Sigma Omega
statut : Vaut mieux être seul que mal accompagné x)
crédits : © Aurelie
messages : 31
âge : 33
Feuille de personnage • relationships :
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Sujet: Hey, hey baby it's never too late, pretty soon ! ||JCR introduces himself| | FINISHED Dim 13 Déc - 1:48 |
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~ si on commençait par les bases.. NOM : Reynolds PRENOMS : Joshua, Clint AGE : 18 ans LIEU DE NAISSANCE : Manchester, Lancaster, Angleterre, le 28.04.1991. FAMILLE :
Abandonné à la naissance par son père biologique, il vit seulement avec sa mère jusqu'à ses cinq ans où une petite soeur vint pointer son nez. Il s'agit de sa belle-soeur, mais il la considère comme sa vraie soeur. Son beau-père est très souvent absent, car, travaillant en Angloa pou rune entrprise pétrolière, il n'est là que tous les quatre mois, environ, pour une durée de deux voire trois semaines. Il s'entend plutôt bien avec sa soeur, qu'il a tendance à surprotéger et moyennement avec sa mère, car ils se sont perdus de vue, entre l'emploi du temps de sa mère et ses études, ils trouvent rarement du temps pour rester ensemble, alors ils ont du mal à se comprendre.
~ on approfondi la présentation. HISTOIRE :
Nous sommes le 28 avril 1991 à Manchester, en Angleterre. Ce fut ce jour là que je naquis, à l'hôpital central de la ville mancunienne. Je n'ai jamais connu mon père biologique. C'était ma mère qui endossait les deux rôles, et elle continue, d'ailleurs, à prendre ces deux rôles. A l'âge de treize ans, ma mère se remaria, avec un homme ayant déjà un enfant. C'était vraiment nouveau pour moi, car, jusque là, je ne savais pas ce que c'était, avoir un père et encore moins une soeur mais je n'allais pas tarder à savoir ce qu'était un "beau-père absent". Ma petite soeur, nommée Emilyet moi, nous avions beau ne pas avoir de parents communs, nous nous ressemblions beaucoup, voilà pourquoi je suis devenu très vite complice et aussi très protecteur envers elle, quitte à passer pour un lourd. Elle me rappelle souvent que je ne suis pas son père, mais j'en ai rien à faire, je suis là pour elle, qu'elle le veuille ou non.
Bref, jusqu'à mes treize ans, je grandis aux côtés de ma mère et de mon oncle. Ils étaient mes repères, et c'est grâce à eux que je suis la personne que je suis, avec mes valeurs, mes défauts et quelques qualités. En dehors de mon oncle, je n'ai jamais vraiment eu de présence masculine, et, par conséquent, je mis du temps avant de m'affirmer réellement. Je passais le plus clair de mon temps avec lui d'ailleurs. Il m'est très important et nous avons une grande complicité. C'est grâce à lui que j'ai trouvé le gout pour la musique. Il m'a appris à jouer de la guitare et de la basse. Formation que j'ai fini par compléter par du chant et quelques notions de piano. Le père que j'avais toujours rêvé d'avoir et moi nous perdimes de vue, à cause du mariage de ma mère. Et ce fut elle qui me poussa vers le théatre, et le cinéma en m'inscrivant aux ateliers de mes écoles. Cela ne plaisait pas beaucoup à mon beau-père, mais comme le préfixe "beau' insiste bien, ce n'est pas mon père. Je n'en ai jamais eu et je ne veux pas en avoir. Si une telle rancoeur existe, c'est tout simplement parce que mon géniteur m'a abandonné à la naissance. Comme je ne l'ai jamais connu, c'est donc un inconnu. A vrai dire, j'aimerais ne jamais l'avoir connu. En effet, j'ai pris conscience de son existance à l'age de sept ans, lors de la procédure de divorce et cela se passa plus ou moins mal puisque je finis par aller voir une psycgologue, pour aller mieux en renfermant cette souffrance entre des parenthèses. Personne n'arrivait à cerner mon désaroi, et je pense que c'est ce qui m'a fait le plus mal. On faisait semblant d'essayer de comprendre, mais pas de comprendre, de me comprendre totalement.
Ces fameuses parenthèses furent brisées à l'age de quinze ans, par une convocation au commisariat qui atterit dans la boite aux lettre de ma mère. Je la charriais en disant qu'elle avait du jouer les chauffardes, mais en faite pas du tout. C'était le retour du père prodigue, en quelques sortes. Il était accusé de viol et tentative de viol sur mineur. D'après ma mère, c'était un lache doublé d'un idiot et lorsqu'elle me dit le pourquoi de cette convocation, je n'avais d'autre choix que de la croire. Je m'en étais toujours plus ou moins douté mais là, c'était évident. J'avais du mal à accepter d'avoir du sang de violeur en moi. Cela me rendait honteux, et vraiment très mal. Mais je prenais sur moi, pour ne pas inquiéter ma mère et troubler l'idylle qu'elle vivait. Je me noyais complètement dans la musique et les arts dramatiques. Ce sont mes passions qui me préservèrent, sans compter que mon oncle me manquait terriblement. Ce qui "m'acheva", ce fut le verdict du procès de mon géniteur. Il avait été reconnu coupable et là, je me renfermis sur moi même, pensant que j'étais un monstre parce que mon géniteur en était un. Au fil du temps, je pris du recul et cette histoire se tassa en moi mais n'en sorti pas pour autant. C'est grâce à ma mère, à mon beau-père et Emily que je pus réaliser que, finalement, ma vie n'était pas si pourrie et je n'allais pas laisser un inconnu me la bousiller. Et, même si j'aimais beaucoup Manchester, pour, en quelque sorte, l'équipe de football, la musique, et mes amis, ma mère demanda sa mutation à Londres, car mon beau-père avait une maison là bas et il était plus pratique que nous fassions le déplacement. L'air pollué de Londres nous tendait les bras.
Nous attendîmes tout de même la fin du lycée pour partir et un vrai départ à zéro s'annonçait. Je dus arreter le théatre pour me concenter sur les études. Heureusement que je m'étais permis de continuer la musique, c'était un vrai moyen d'escapade, vers de bons moments et souvenirs. Depuis que ma mère a rencontré mon beau-père, je vis dans le luxe, enfin non, comme il le dirait: "Nous ne sommes pas riches, mais nous sommes aisés." C'était sa phrase fétiche, il la sortait autant qu'il le pouvait. A Londres, une des plus petites villes d'Angleterre, je repris contact avec mon oncle et j'appris qu'il vivait à Canterbury. Je décidai alors que dès que je le pouvais, donc pendant les vacances, j'irais lui rendre visite, histoire d'entretenir le lien si particulier que j'avais avec lui. Fraîchement arrivé, depuis la rentrée, j'ai eu du mal avant de bien m'intégrer, mais maintenant, c'est fait et je compte en profiter, sans excès. Je ne suis pas du genre à me faire remarquer et voilà pourquoi, je préfére compter sur ma main le nombre d'amis que j'ai, parce que je sais qu'à eux, je peux leur vouer une confiance aveugle. En faite, je passe mes vacances à sillonner l'Angleterre, entre Londres, Manchester et Canterbury, maintenant.
CARACTÈRE :
Je suis quelqu'un de trè sociable, qui va vers les autres. J'aime faire des rencontres, parler à des inconnus, cela me remonte le moral. En effet, bizarrement, après avoir parler à des amis ou à quelqu'un, je me sens vraiment mieux. D'ailleurs, pour eux, je serais prêt à tout. J'ai une grande ouverture, on peut parler de tout et de rien avec moi, même si il ne faut pas dépasser certaines limites. Et oui, j'écoute beaucoup mais lorsqu'il faut l'ouvrir, et bien, je l'ouvre en disant ce que je pense. J'essaie toujours de peser le poids de mes mots mais ce n'est pas toujours évident. Lorsque je fais une remarque, c'est toujours avec tacte et diplomatie. Sinon, j'adore sourire, c'est vrai, je souris tout le temps, enfin autant que je le peux. Cela peut paraitre stupide mais il a toujours été plus agréable d'avoir quelqu'un qui sourit que quelqu'un qui boude à longueur de journée. Je rigole pour un rien aussi, ce qui peut se montrer déroutant... Je prends aussi sur moi, tout le temps. Si on m'écoute, c'est toujours: "Je vais bien, tout va bien dans le meilleur des mondes". Or, comme tous les êtres humains, j'ai mes humeurs et mes limites et lorsque je n'arrive plus à contenir ce que je ressens, je m'isole, je reste distant mais cela ne dure pas trop longtemps, en effet, j'aime vraiment rester avec les personnes qui me sont proches. Ce n'est pas parce que je vais vers les autres que je suis naïf au point de m'attarder. J'ai tendance à comprendre très vite les messages subliminaux. Se mettre à disposition pour les autres, c'est comme une seconde nature, je suis toujours là pour aider, dans la mesure du possible, bien sur. Mais derrière cette facette de personne rassurante et assurée se cache une personne plutot pessimiste, doutant du moindre geste. Heureusement que j'ai appris à cacher cette façade, qui reflêterait toute ma faiblesse car je suis plus ou moins sensible. Je ne percute pas desuite, il me faut un peu de recul, comme les lapins, je suis long à la détente. Mais lorsqu'on y réfléchit, très peu de personnes me connaissent réellement, avec mes gouts et mes loisirs. A force de montrer cette même facette souriante, tout le monde, ou presque, me croie inatteignable.
PHYSIQUE :
Je suis de taille moyenne, autour d'un mètre quatre-vingt, environ, pour soixante-cinq kilos à peu près. Ma silhouette est assez svelte et légèrement musclée. N'ayant pas pratiqué beaucoup de sport, je n'ai pas un corps d'athlète mais il n'empêche que j'ai fais de la natation, depuis mes six ans et un peu de football, et oui, Manchester oblige ! Ce n'était pas vraiment ma vocation... Mes yeux sont de couleur hazel, c'est à dire que leur couleur varie en fonction de l'environnement. Ils sont originellement verts mais ils peuvent tirer vers du bleu, du marron clair, du vert mais aussi vers du gris pâle. Mes cheveux sont généralement courts ou avec un peu de longueur. Ils sont, à la base, bruns mais sur un coup de tête et un délire avec des amis, ils sont devenus blonds. Pour combien de temps encore ? Aucune idée car il ne s'agit pas d'une coloration mais d'un délavement. J'aime me laisser pousser une légère barbe, j'ai l'impression que cela me rend plus mature physiquement. J'ai les dents droites et blanches, grâce à un appareil porté il y a peu. J'ai souvent un piercing à l'oreille, mais que très rarement, j'oublie simplement de le mettre. J'ai deux médiators, un noir et un autre rouge, en guise de pendentif pour mon collier. Je porte souvent des bracelets de mes groupes préférés ou encore des concerts ou soirées où je vais, souvenirs, souvenirs !
CONFRÉRIE SOUHAITÉE : Lambda Sigma Omega. AVATAR : Dougie Poynter DIVERS :
J'ai un tatouage au bras, qui va jusqu'au torse et un autre à la cheville. J'aime beaucoup faire du skate, et il n'est pas rare de me voir sur une planche. Le surf, c'est pas mal non plus mais étant débutant et maladroit, j'évite, les gamelles, au bout d'un moment, c'est lassant.
~ maintenant, c'est à toi. PRENOM/SURNOM : Anonymous AGE : 15.5 LOCALISATION : France, Pecno-la-forêt x) PRESENCE SUR LE FORUM (#/7) : 3/7 pendant la période scolaire et 7/7 en vacances. VOTRE NIVEAU RP : Moyen COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM : M'en souvient plus, certainement sur le web ^^ CODE DU REGLEMENT : Validé.
EXEMPLE DE RP:
- Spoiler:
Vendredi, c'était synonyme de week-end, de sortie, bref, de détente. C'était mon jour préféré, avec mercredi, qui était, en faite, une simple matinée de cours. Ce n'était pas que je n'aimais pas travailler mais les journées se faisaient longues et la fatigue, de le plus en plus prenante. Oui, j'étais bien fatigué, comme la plupart des étudiants, après tout, personne n'était surhumains, même si certains faisaient tout comme... Mais cela est une autre histoire. J'étais à moitié avachi sur ma table, dans mes pensées alors que la sonnerie de la délivrance sonna. La semaine était longue et je ne préférais pas trop penser à la semaine suivante, qui se promettait d'être chargée. Je sursautai et rangeai mes affaires en un éclair, chose extrêmement rare, vu qu'un escargot réussirait à faire huit tours de piste sans que moi, je ne daigne ranger un seul bouquin. Je sortais de la classe, mains dans les poches en laissant un léger sourire se dessiner sur mes lèvres. J'étais content. Quelques regards jetés à gauche, à droite, et de ma main gauche, j'ouvris la porte qui me séparait de l'air libre et plus ou moins frais de Londres. Je partis vers l'emplacement de ma moto, puis démarrai au quart de tour. Trop pressé de rentrer chez soi, mon canapé me manquait et il y a des jours où on a envie de voir...personne. Ce n'était pas souvent que cela m'arrivait mais lorsque c'était le cas, je ne faisais pas semblant. Au bout d'une dizaine de minutes, j'arrivai dans la banlieu de Londres et dans la petite maison dans laquelle vivait ma mère, ma soeur et moi, bien sûr. Je garai mon véhicule puis poussai délicatement la porte d'entrée de chez moi. A ma grande surprise, il n'y avait pas personne, je pensais croiser ma ma soeur, mais non. Elle devait certainement être de sortie.
_>>"Personne, génial, je vais pouvoir jouer à fond sans qu'on me dise rien !">>_ Dis je à moi même, en souriant narquoisement.
J'aimais bien embêter mon monde, enfin, cela dépendait du moment. C'était plus une volonté de liberté qu'autre chose, d'ailleurs. Je jetai mon sac sur mon lit puis allumai l'ampli et finis par prendre ma basse. Je commençais tout d'abord par l'accorder puis je jouais quelques morceaux. Au bout d'une bonne heure, je sentais mes doigts me brûler, la meilleure sensation qu'il existe, enfin presque... Profitant d'une pause, j'entendis la porte s'ouvrir et une voix familière, en effet, il s'agissait de ma mère. Je quittai ma chambre et partis au salon, voir ma mère en arborant un large sourire.
_>>"Tiens, t'es rentrée tôt aujourd'hui...">> Rétorquai je à ma mère, en la regardant.
Voilà, un vendredi après-midi type de ma vie d'étudiant. Ce n'est pas passionant, mais qui sait ce que nous réserve l'avenir ? Je n'en avais vraiment aucune idée et je voulais éviter au maximum de me projeter dans le futur, de peur que mes plans soient synonyme d'échec. En tout cas, ce qui était sûr pour la prochaine heure, c'était que j'allais la passer allongé sur le canapé, à regarder la télévision.
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