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zarah ▬ les bords de mer me désespèrent

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Zarah P. McEwan

Zarah P. McEwan




confrérie : LSO
statut : qui sait?
crédits : wild hope
messages : 3

zarah ▬ les bords de mer me désespèrent Vide
MessageSujet: zarah ▬ les bords de mer me désespèrent zarah ▬ les bords de mer me désespèrent Icon_minitimeDim 13 Déc - 15:25

zarah ▬ les bords de mer me désespèrent Clmence
i'm tired of looking of those heroes in the sky

      ~ si on commençait par les bases..

    NOM : McEwan, comme l'écrivain des années 40. Vous savez, ces fameux livres anglais qui ont sans doute pas bouleversé le monde mais qui ont peut-être émus certains d'entre nous? Non. Bref, il se trouve que cet homme est mon grand père. Mais ça reste un nom très apprécié par les anglo saxons, la preuve en est que je ne connais pas la moitié des membres de ma famille.
    PRENOM : Zarah. Pas très anglais cela dit. Ma mère a toujours été une femme très hors norme, et elle ne me souhaitait pas un prénom bateau. Type Clémence, Chloé. Sans doute aurais je préféré. Quand on m'appelle Zarah, on se dit qu'on s'est trompé avec le désert, ou qu'on parle d'une boutique de fringue. Je ne pense pas être sèche comme le sable, ni avoir quoique se soit à faire avec une telle marque.
    AGE : Si je calcule bien, ça me fait désormais vingt belles années que j'arpente ce monde. Quoique les gens puissent en dire, à vingt ans on ne mesure encore rien, on en connait déjà trop cependant pour avoir parfois envie de continuer. Le pessimiste ne tue pas, la vie oui. Je n'ai pas apprécie les vingt années que je viens de vivre, j'espère juste que celles qui vont suivre seront plus paisibles.
    LIEU DE NAISSANCE : Je suis née à Visby sur l'Île de Gotland, à quelques kilomètres des côtes de Suède d'où ma mère est originaire. Je suis donc suédoise de naissance et je me fonds bien dans la masse malgré mes quelques descendants anglais grâce à mon teint pâle, mes cheveux clairs et mes yeux bleus. Je suis fière de mon pays, je suis fière de ma langue et de ma culture, je suis fière d'avoir vécu là bas, quoique ce fut peu de temps au final. Même si je suis toujours obligée d'expliquer un bout de mon histoire pour que les gens comprennent comment je suis arrivée ici. A St Thomas...
    FAMILLE : Ce n'est pas un sujet que j'aime aborder. Peu de choses à dire. C'est vrai, une famille, c'est du sang et de la chair qu'on partage avec d'autres, rien de bien glorieux. On se doit de les respecter quand bien même ce sont les pires salauds du monde, et ma famille n'est pas exempte des crimes de cette Terre. Loin de là. Je ne connais pas beaucoup de membres, ni du côté de ma mère, ni du côté de mon père. Je ne connais qu'une cousine, qu'un oncle, mes parents, et mes frères et sœurs. on a pas eu les dîners de famille, les réunions de Noël et tout ces trucs bateaux. On se vante du succès littéraire de mon grand père parfois, du succès de l'entreprise de chocolat de mon grand oncle du côté de ma mère, juste pour se cacher que notre vie à nous n'est pas très glorieuse, rien de plus. Au final, les McEwan ne sont pas très heureux, et on se glorifie du succès des aïeuls pour oublier dans quelle misère nous sommes tombés.


      ~ maintenant, c'est à toi.

    PRENOM/SURNOM : Hell-ya =)
    AGE : Huum... 17 ans me semble-t-il
    LOCALISATION : Quelque part dans le monde.
    PRESENCE SUR LE FORUM (#/7) : Je dirais 4/7 environ, tout dépend.
    VOTRE NIVEAU RP : ça fait longtemps que j'en avais pas refait alors... plutôt moyen.
    COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM : PRD powaa'
    CODE DU REGLEMENT : vous êtes des animaux.

    EXEMPLE DE RP:




Dernière édition par Zarah P. McEwan le Dim 13 Déc - 18:44, édité 2 fois
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Zarah P. McEwan

Zarah P. McEwan




confrérie : LSO
statut : qui sait?
crédits : wild hope
messages : 3

zarah ▬ les bords de mer me désespèrent Vide
MessageSujet: Re: zarah ▬ les bords de mer me désespèrent zarah ▬ les bords de mer me désespèrent Icon_minitimeDim 13 Déc - 15:25

    zarah ▬ les bords de mer me désespèrent Img-172157h2t4z
    Se demander quel est le goût des nuages...



    HISTOIRE :
    Il y a des histoires qu'on ne préfère pas raconter, et y'en a d'autres qu'on se voit obliger de partager pour éviter de connaitre les mêmes erreurs. Moi je prends le temps de t'expliquer ce qui s'est passé pour moi pour pas que tu me prennes pour une folle. Parce que je ne le suis pas. Enfin, dans une certaine mesure. Je pense surtout que c'est la vie que j'ai vécu qui a fait de moi ce que je suis mais que la personne que j'étais m'a influencée pour conduire ma vie. Aujourd'hui, il me reste rien de mon passé, ni photos, ni sourires, ni noms, ni adresses. J'ai coupé les souvenirs de ma mémoire en les écrivant ici. Je ne souhaite pas que quelqu'un tombe dessus, si tes yeux passent sur ces lignes, c'est que j'ai lamentablement échoué. On n'est jamais qui on souhaite vraiment, n'est ce pas? Et on tente de le devenir en se mentant à nous même. Sans doute ai je été trop franche, sans doute ai je échoué à cause de ça...

          Part I; Vi ej hinna alltid barndom att vi uppfinna

    La maigre banlieue, l'odeur du souffre, du gouffre nous encerclée. Elle nous tenait prisonnière dans cet étau, pendant que je baignais dans le ventre de ma mère. Elle tournait aux vitamines, aux crises de larmes, aux cigarettes volées dans le dos de Samuel. Mon père. Ce père que je n'avais pas désiré tant il m'avait reniée avant même de connaître mon existence. Je sais que jamais je n'aurais pu lui plaire suffisamment, quand bien même l'aurais je souhaité puisque le simple fait d'apprendre ma future naissance, évènement normalement annonciateur de fêtes et de délices, lui donnait envie de vomir. Vomir sur mon existence, sur celle que je venais de lui voler. Il aurait souhaité être grand et fort, il devenait misérable et père de famille. Alors même qu'il allait annoncer à ma mère qu'il la quittait il se retrouva avec cette image de papa gateau. Il n'avait rien demandé et rien choisi, et sa virilité était entre les mains d'une prostituée suédoise qu'il avait eu le malheur de revoir plusieurs fois. Sans doute la luxure prenait elle fin ici. Sans doute n'y avait il plus d'autres choix, plus d'autres échappatoires; Il allait devoir vivre dans le misérable appartement deux pièces d'une prostituée avec des fringues déchirées dans les coins et des cigarettes sur les rebords de fenêtre et sur les tables. Elle était loin la prestigieuse université qu'il souhaitait intégrer. Et, après avoir choisi, le regard fixé sur ce plafond imbibé d'eau, il comprit que rien ne le retenait ici. Ce n'était qu'un ADN, qu'un sang, qu'une chair qu'il m'avait transmis, rien de plus, ni nom, ni argent, ni pouvoir. Pouvoir qui lui passerait entre les doigts s'il restait ici. Samuel avait bien plus d'ambitions. Il serait écrivain, comme son père, et le plus grand fornicateur d'Europe qui feraient crier les femmes et vers qui elles se précipiteraient. Il le savait. Il abandonna donc cette misérable épave dans son lit qu'il avait souillé et s'en alla. Aussi rapidement qu'il était arrivé, aussi sournoisement que l'argent qu'il lui avait donné la première fois, aussi lâchement que les promesses qu'il lui avait murmurées.

    Ma mère se retrouva seule. Freja... Du moins, tout le monde la connaissait sous le prénom de Diamond. Une prostituée ne donne pas son nom, elle donnerait sa vie en même temps. Elle me donna naissance sur ce lit immonde, entourée d'une voisine dont elle ne connaissait rien mais qui avait dans les yeux, la compassion du monde entier, et l'amour à revendre. L'amour que l'appel de la guerre lui avait enlever avec son mari. C'est elle qui m'éleva quand maman travaillait. Je ne me souviens plus d'elle. J'étais si jeune. Mais c'est elle qui m'a offert de vivre. Je serais morte de solitude et d'handicap. Heureusement, elle fut là, et elle m'éleva dans ses bras comme l'enfant qu'elle n'a jamais eu. Ma vie ne prit donc pas fin quelques jours après avoir commencé. Maman reprit le travail, quoique ce nom me glace d'effoi. Elle avait perdu tous ses clients, les femmes enceintes ne sont que la dure réalité de ce qu'il pourrait arriver. Voir la réalité en face n'était pas l'évasion qu'ils projetaient. Et elle était si fatiguée, si épuisée. Complètement anéantie. Finalement, après des mois elle a réussi à se détacher de ce marché de sueur et de sexe. Sans doute n'étais je qu'une erreur de latex, néanmoins, elle n'en voulait pas une autre. Elle fut donc assistance dans une petite boulangerie au bout de notre rue. Elle revenait dès qu'elle le pouvait, mais elle n'avait pas beaucoup de temps à me consacrer. C'est Salgey, cette bonne vieille dame qui me garda toute mon enfance qui me l'a apprit. Je devins donc la fille d'une femme fantôme, qui, une fois rentrée chez elle n'avait pas d'autres courages que de s'effondrer sur son lit pour pleurer son amour perdu, envolé une nuit d'octobre sous le ciel de Suède. Elle était effroyablement seule et aurait donné son cœur pour connaitre l'amour une seconde fois. Je crois qu'elle avait peur de moi. Elle revoyait mon père dans mes traits et ça la terrifiait. Moi aussi ça me faisait peur. Quand je me regarde dans la glace, aujourd'hui encore, je sens un inconnu qui a pris de l'ampleur sur ma personne et c'est si inquiétant. Je ne sais pas à qui ses traits appartiennent. Avait il le même grain de beauté que moi sur l'épaule droite? Ce même nez fin? Qui sait...

          Part II; Tonåren väsenden den alldenstud vart a arbetsliv allvarsam

    L'adolescence a été bien plus agréable. Certes, j'aurais pu m'en sortir mieux, mais je pense que, avec l'enfance que j'ai subi, j'ai été une exception. Cette faible lueur d'espoir qui annonce que tout ira mieux. J'ose le croire en tout cas. Je suis persuadée qu'après tout ira mieux; que je continuerais à vivre des jours heureux. Salgey a continué à être là pour moi, ma mère est devenue une femme normale, quoiqu'elle évitait les contacts avec moi. Elle refusait de me voir grandir, elle refusait d'être confronté au visage du diable qu'elle avait aimé. Elle refusait de voir cette erreur évoluer sous ses yeux, prendre vie. Alors, pour oublier cette détresse dans laquelle me plongeait ma mère, je me suis tournée vers Salgey, et vers un don qu'une force m'a donné pour aller de l'avant, pour m'en sortir, le dessin. Je crois que je peux dire sans honte que je suis plutôt douée. Tout le monde me le dit. Quand je dessine, on s'arrête, on me regarde, on me juge, on me critique mais je continue à faire jouer ma mine sur le papier. Quand j'étais petite, je ne faisais que ça. Sans trop de pratique, et peu à peu, les soucis se dévoilant sous mes pas, il m'est apparu clairement que je devais faire évoluer cette aptitude. Surtout que ma mère a fini par refaire sa vie, me laissant avec Salgey. Que je juge comme ma propre mère. Elle m'a appris toutes mes valeurs et je lui dois tout. Elle a été là pour moi et je crois que cette femme a été en quelque sortes de nouveau rattaché à la vie en prenant soin de la mienne. Elle a été pour moi ce que j'étais pour elle; un pilier d'amour et de réconfort. Elle a pleuré dans mes bras, autant de fois où j'ai pleuré dans les siens et elle a été cette confidente qui accueillait mes secrets sur la tiédeur d'un oreiller sans jamais me brusquer. Bien sur, j'ai du quelque fois lui déplaire, bien sur l'adolescence m'a arrachée de son sein maternel, mais elle a toujours eu une emprise incroyable sur moi et j'ai toujours beaucoup apprécie cette femme qui m'a aimé à la place de ma mère. Elle était suffisamment riche, ancienne journaliste de renom, pour me faire vivre très agréablement. Elle m'inscrivit dans un lycée qu'elle prit soin de choisir, pour répondre à mes qualités. Je me suis toujours très bien débrouillée et je crois qu'elle avait réussi à le deviner. Et puis, elle a veiller à m'inculquer toute la bonne conscience morale. Le bien, le mal, les préjugés, et les qualités. Les soirs, elle aimait apprendre les leçons que j'avais eu. Ainsi, grâce à elle, j'apprenais avec plaisir la pédagogie et rapidement nous primes soin, avec notre dictionnaire de français tout neuf, de pratiquer la langue. Nous parlions parfaitement l'anglais et le suédois, investis dans notre pays et il nous paraissait évident que nous devions nous ouvrir encore. Quelle plus langue que le français!

    Et puis, j'ai du me détacher d'elle. Parce que je devenais de plus en plus... extravagante. Ses bras n'étaient que trop synonymes de mon enfance et je ne gardais de cette dernière que le dessin. Je ne revis plus ma mère. Je ne le désirais pas. D'ailleurs, elle était mariée à un manitou des affaires, qui était tombée amoureux d'elle en achetant son pain. Elle avait tout quitté. Moi la première. Et donc Salgey n'était que le seul repère que j'avais avec ce que j'avais vécu. Et celui là même que je voulais éviter. Je pris la voie des camarades de cours. Je ne rentrais que tard le soir chez moi, je buvais, je fumais, j'embrassais n'importe qui, je faisais n'importe quoi pour me prouver que j'étais envie. Comme traverser l'autoroute pieds nus, un joints aux lèvres. je l'ai fait. Je l'ai fait je crois pour mettre ma vie en péril et voir si quelqu'un essaierait de me sauver. Personne n'y tient dans le monde de débauche où je m'étais enfouie. On cherche tous la même chose et on devient aveugle à tous ceux qui nous entoure. J'avais même fini par donner ma virginité à un mec deux fois plus âgé que moi qui n'avait aucune pitié pour la jeune vierge que j'étais alors. C'est à ce moment que je repris conscience de qui j'étais, réellement. Je n'étais pas cette fille facile, je n'étais pas ma mère, je n'étais que plus dégoutée de cette luxure maintenant que je l'avais goutée. Ce fut mon premier, mais ce fut aussi le dernier jusqu'à ce jour. Je crois que cette erreur m'a permise de comprendre que je n'étais pas faite pour ça. Que je ne voulais ni amour, ni preuve de ce dernier. Je suis donc retournée vers cette bonne vieille femme, vers cette mère qui m'avait accueillie. Je ne m'étais pas rendue compte, enfermée dans ma sottise, qu'elle dépérissait, à vue d'oeil. Qu'elle perdait tout, cheveux, vie. Un cancer foudroyant dont elle n'avait jamais osé me parler, où dont elle me parla sans que j'y fis attention. Les médecins firent tout, mais, et à 86 ans, je le comprends, ils ne purent rien. J'avais donc dix neuf ans; et nul part où aller. je ne voulais plus de cette Suède malheureuse où j'avais vécu. Je décidai donc de partir, loin. Dans un pays qui avait alimenté tous mes rêves, Beatles, députés, Reine, The Clash... Londres, terre miracle. Et sans doute, derrière tout ça, l'envie irrépressible de retrouver mon père.

    CARACTÈRE :

    PHYSIQUE :

    CONFRÉRIE SOUHAITÉE :
    Je crois que les Lambda Sigma Omega, sont ceux qui me correspondent le mieux. Je ne suis ni une fille parfaite, ni une de celles qui veulent tout, tout de suite, et qui ont tout. Non, j'aime me battre pour mes volontés, j'aime être imparfaite, j'aime mes défauts, et j'aime surtout ma solitude. Alors, et parce que je sais sans doute incroyablement, dessiner, j'ai décidé de me lancer vers cette confrérie qui n'a rien à m'apporter de concret. Cette petite corbeille d'âmes perdues qui ne sont ni chauds lapins, ni poupées Barbie. Alors, voilà, moi je les aies choisi eux; j'espère juste qu'ils m'accepteront aussi. Ils sont ceux qui sont les plus proches de moi dans cette université.
    AVATAR :
    Clémence Poésy <3
    DIVERS :
    I'll be close behind, I'll follow you into the dark cause hell and heaven are on vacations.


Dernière édition par Zarah P. McEwan le Dim 13 Déc - 22:21, édité 5 fois
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zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Vide
MessageSujet: Re: zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Icon_minitimeDim 13 Déc - 16:15

    Bienvenue, et bonne continuation (:
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Laurel Kovalevski

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zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Vide
MessageSujet: Re: zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Icon_minitimeDim 13 Déc - 16:29

    bienvenue ♥
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Zarah P. McEwan

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zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Vide
MessageSujet: Re: zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Icon_minitimeDim 13 Déc - 18:45

    Merci beaucoup à vous deux I love you
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Amy W. Mckenzie

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zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Vide
MessageSujet: Re: zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Icon_minitimeLun 14 Déc - 23:24

Bienvenue (:
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MessageSujet: Re: zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent Icon_minitime

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zarah &#9644; les bords de mer me désespèrent

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